Ecole de management IFAG - Campus de La Réunion

1, rue Francis-Sautron
Rond-point des Danseuses
97420 Le Port, France

Situer

02 62 61 00 00

reunion@ifag.com

Le campus IFAG de La Réunion

Le campus d’IFAG à La Réunion a pour vocation d’être la première université privée professionnalisante de l’île. Cette structure permet à la jeunesse réunionnaise d’acquérir des compétences et des diplômes de très haut niveau.

Au travers des formations en management, l’IFAG propose des itinéraires diplômants en concertation avec les filières économiques locales. Avec une vision de l’éducation qui vise à faire des apprenants des femmes et hommes accomplis, qui prennent leur avenir en main. L’objectif étant de délivrer des formations diplômantes, reconnues par l’État, et à fort taux d’insertion professionnelle.

Ouvert en 2014, l’IFAG à La Réunion, est le premier Campus IFAG en Outre-mer.  

Elle fait partie des sept écoles supérieures implantées dans le campus innovant, au Port et participe à l’enracinement territorial. 

La vie associative

Bureau Des Élèves : Animation de la vie étudiante et organisation événements divers liés à la vie du CAMPUS : page Facebook


Contact : bdecampusreunion@gmail.com

Kevin Fievet
Directeur
Karine Kalifa Bligny
Directrice Centre Campus
Jean-Luc Fievet
Relations institutionnelles
Marie Josée Kaisse
Assistante administrative
Sylvie Chaussee-Hostein
Communication
François MIYELI
Référent Entreprise
Lindsay Mansard
Référente pédagogique
Mael Ledoyen
Chargé recrutement et relations entreprises

Quelles formations en management proposons-nous à La Réunion

Saint-Denis est la plus grande agglomération de l’outre-mer. Cette Ville d’art et d’histoire compte à elle seule plus de 50 monuments classés historiques, plus du tiers du patrimoine de l’île. Implantée entre mer et montagne, encadrée par 2 rivières, avec ses terrasses de cafés Saint-Denis est bien typiquement française. Pourtant, en fouinant un peu, on découvre le charme des boutiques z’arabes, la majesté des arbres centenaires en plein centre-ville, la beauté de l’architecture créole et surtout le métissage de ses habitants. Tendez l’oreille, vous capterez des mots en créole, en mahorais, en chinois, en hindi, en malgache... Une journée idéale passe par une flânerie le long de la rue de Paris où se situent les musées, un tour aux marchés, une balade au jardin de l’État, puis un verre au parc Barachois, et la promenade en bord de mer au coucher du soleil. Les structures d’enseignement supérieur à Saint-Denis ne comptent pas moins de 19 000 étudiants.

 

Petite sélection :

Des camions-bars sur le Barachois ouverts le midi et tard le soir. En terrasse ou dans le jardin, on y mange des samoussas, un sandwich aux bouchons gratiné ou un repas créole dans une barquette, et on y boit une Dodo dans une ambiance parfois pimentée le soir. C’est aussi la balade dominicale préférée des fêtards sur la partie piétonne, fréquentée par les joueurs de pétanque, les amoureux et les familles en goguette.

Chez Kaï : 35, rue de Nice. Ouvert depuis 1967, ce snack propose samoussas, beignets de crevettes et plein de petites fritures à emporter sur le Barachois tout proche. Ça dépanne bien pour un repas sur le pouce.

Chez Jean-Marc : au Grand Marché, rue du Maréchal-Leclerc. Ce marché de style Baltard cache, au milieu de la bimbeloterie colorée, un bon resto pour profiter de l’animation. Au menu, sauté, rougail, ou des caris du jour copieux et goûteux.

Le Reflet des Îles : 114, rue Pasteur. Grillades et salades variées mais surtout caris, rougails et civets, pour faire honneur à la tradition. Au total, pas moins d’une vingtaine de spécialités créoles, dont quelques pépites comme le bouillon coquille la rivière ou la morue brèdes songe, à déguster dans une vaste salle classique. Une valeur sûre.

 

Petite sélection :

Les bars-restos du Quartier Cathédrale : rue Saint-Paul.  Cette section piétonne encadrant la cathédrale est devenue le lieu de rencontre le plus agréable de la ville, de jour comme de nuit. C’est jeune, festif et gentiment branché. Parmi la ribambelle de restos et de bars, le Passage du Chat Blanc est l’un des plus courus (DJ et super playlist). À l’heure de l’apéro, c’est parfait !

Ô Bar : 32, rue de la Compagnie. Parmi les terrasses fashion de la ville qui ouvrent le plus tard. Clientèle ad hoc, qui apprécie les tapas et les cocktails de la maison.

Le Bar a Cas : 19, rue Pasteur. Un bar convivial et chaleureux : cocktails, bonne musique, concerts et clientèle assez mélangée pour profiter de tout ça dans la bonne humeur.

Bar les Dalons : 7, rue Amiral-Lacaze.. Un spot incontournable pour les amateurs de bières artisanales et d’ambiances festives. Au menu, des blondes, des blanches et des brunes brassées dans l’île, mais aussi des animations DJ, des concerts live et des évènementiels pour plus de fun. C’est jeune, cool et branché : un vrai repaire de dalons (« potes » en v.f.) !

 

Lieux culturels incontournables :

Le musée Léon-Dierx : 28, rue de Paris. Né à La Réunion, Léon Dierx fut poète de l’école parnassienne et peintre à ses heures. Mais c’est surtout grâce à la donation d’Ambroise Vollard, collectionneur et marchand d’art natif de l’île, qu’on peut découvrir dans ce musée ouvert en 1912 des œuvres de tout 1er plan, en lien avec l’impressionnisme ou l’art de la fin du XIXe s et des 1res années du XXe s. L’accrochage étant régulièrement renouvelé pour présenter au maximum les collections conservées dans le fonds, on y admire des toiles de Gustave Caillebotte, Berthe Morisot, Émile Bernard, des céramiques de Paul Gauguin, des bronzes d’Auguste Renoir ou d’Émile Bourdelle.

Le Muséum d’histoire naturelle : 1, rue Poivre, dans le jardin de l’État.. Ce modeste musée occupe la bâtisse néoclassique de l’ancien palais législatif, siège du conseil colonial. L’exposition permanente s’intéresse la faune et à la flore des îles de l’océan Indien : lémuriens naturalisés, impressionnant cœlacanthe que l’on croyait disparu depuis 60 millions d’années, et moulage de l’emblématique dodo de Maurice aujourd’hui disparu. Également des collections rapportées par des voyageurs au long cours et une section dédiée aux TAAF (Terres australes et antarctiques françaises, dont le siège est à Saint-Pierre).

 

 

Pour se distraire et s’aérer la tête :

Le jardin de l’État : accès par la rue de la Source, la rue Bertin, la rue Poivre, la rue Malartic et la pl. de Metz. Créé en 1767, ce jardin royal s’est développé au fil du temps, notamment grâce à Nicolas Bréon (1785-1864) : il fit planter une importante collection d’arbres fruitiers, des espèces de Madagascar, de Maurice et d’Arabie. D’autres jardiniers ont enrichi le parc pour composer une agréable balade en pleine ville, à la découverte d’essences exotiques. Bassin, aires de jeux pour les enfants...

Le Barachois : le mot désigne un petit port, en fait, un espace vert bordant la mer, le long de la digue. Les vagues viennent s’écraser sous l’œil des vieux canons pointés vers le large. Cette grande esplanade, plantée de ficus le long du boulevard, a été créée au début du XXe s. Auparavant, le bord de mer servait au déchargement des voyageurs et des marchandises. Plus loin, le Barachois devient un petit parc. Quelques terrasses où l’on s’installe en fin de journée pour admirer les palmiers jouant avec les rayons du soleil. C’est le lieu de promenade dominicale des Dionysiens.

Pour garder la forme et assister aux événements sportifs

Des dizaines de clubs et associations soutenus par la ville proposent des activités qui permettent à chacun, à tous les âges, de cultiver son bien-être, sa santé physique et mentale et ses capacités sportives. La mairie propose un dossier très complet qui permet à chacun de trouver le club de son choix et de localiser les sites d’équipements sportifs et de profiter de structures gratuites comme le skate-park, le Palais des Sports les pistes cyclables. Également, se retrouver et partager des séances de sport et de remise en forme en plein air, dans l’une des 4 aires de street work-out ou l’un des 33 city-stades que comptent la ville.  Consulter -ville-saint-denis.fr-